LES DECORATIONS

 


             

    Les rois ont toujours voulu se différencier des autres personnages. Ils adoptèrent la couronne. Les autres personnages ayant des hautes fonctions ou faisant partie de la famille royale adoptèrent eux aussi des couronnes.

                               

                               Royale - Dauphin - Des Enfants de France (royale avant François 1er) - Duc - Marquis
                               Comte - Vicomte - Vidame - Baron - Tortil de chevalier

     


 
Pour récompenser les soldats méritants, les hommes ont crée des médailles. Au  début ces décorations étaient destinées aux chefs de guerre donc les nobles. Au fil du temps toutes ces décorations ont atteint les simples soldats. Plus tard en plus des distinctions militaires des distinctions civiles ont vu le jour.



ORDRES ROYAUX
La Toison d'or:
 
                       L'Ordre de la Toison d'or, dit aussi la Toison d'or (avec une majuscule) ou la Toison, est un ordre de chevalerie autrefois prestigieux fondé à Bruges le 10 janvier 1430 par Philippe le Bon duc de Bourgogne, à l'occasion de son mariage avec Isabelle de Portugal
    

   

 



Ordre de Saint-Michel:

  
                 L’Ordre de Saint-Michel est un ordre de chevalerie, fondé à Amboise le 1er août 1469 par Louis XI. Les membres de l'Ordre de Saint-Michel se disaient chevaliers de l’Ordre du Roi, alors que les chevaliers de l’Ordre du Saint Esprit s’intitulaient chevaliers des Ordres du Roi.





 
Ordre du Saint-Esprit:

                 

                        L'Ordre du Saint-Esprit fut pendant les deux siècles et demi de son existence, un ordre de chevalerie prestigieux au service de la monarchie française.








 L’Ordre de Saint Louis :

               

                     L'Ordre royal et militaire de Saint-Louis est un ordre honorifique français créé en avril 1693 par Louis XIV pour récompenser les officiers les plus valeureux.

 


    Il est à noter  que toutes les décorations  et les divers Ordres étaient réservés à l'aristocratie.

En France, la Légion d’Honneur est la distinction la plus haute. Elle fut créée par Napoléon Ier pour récompenser ses soldats de la Grande Armée. Plus tard, les civils pourront arborer. Il y a plusieurs ordres (voir ci dessous), le Président de la république est le grand maître de l’ordre. La deuxième distinction sont les médailles militaires obtenues soit lors de combats ou sur un fait d’armes. Elle est uniquement réservée aux militaires ou assimilés. La troisième distinction est l’Ordre du Mérite. L'ordre national du Mérite est destiné à récompenser les mérites distingués acquis soit dans une fonction publique, civile ou militaire, soit dans l'exercice d'une activité privée.


LEGION D'HONNEUR:

  La Révolution française avait aboli toutes les décorations de l’Ancien Régime : L'Assemblée Constituante avait créé la Décoration Militaire, bientôt elle aussi supprimée. Sous la Convention, les généraux avaient pris pour habitude d’attribuer des armes d’honneur (fusil d’honneur, sabre d’honneur ou encore tambour d’honneur) pour récompenser les actes de bravoure. Bonaparte institutionnalisa ce système en créant les " armes d'honneur ", armes de grand luxe, gravées au nom du bénéficiaire et accompagnées d'un brevet. Le 29 floréal An X (19 mai 1802), la loi instituant ce nouvel Ordre est votée : " Une " Légion d'Honneur récompensera les militaires mais aussi les " services et vertus civils ". Cette idée originale d'associer, au sein du même ordre, militaires et civils permettra à la Légion d'Honneur de traverser tous les régimes et de n'être jamais remise en cause.  Le 14 juillet 1804 eut lieu en la chapelle des Invalides la toute première remise de Légion d’honneur par Napoléon Bonaparte aux officiers méritants au cours d’une fastueuse cérémonie officielle. Un décret du 10 pluviôse An XIII (30 janvier 1805) ajoute la Grande Décoration dont les titulaires furent par la suite nommés « Grand Aigle », puis « grand cordon » (ordonnance du 19 juillet 1814) et enfin « grand'croix » (ordonnance du 26 mars 1816). 


 
       Légion d'Honneur de Napoléon Ier                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                    grand collier de la Légion d'Honneur

   La Légion d’honneur n’est pas réservée aux Français : elle est aussi attribuée à titre protocolaire aux chefs d’État, Premiers ministres, membres de gouvernement et ambassadeurs étrangers lors de leur venue en France, et à quiconque a servi les intérêts de la France. Par exemple, le 19 février 1999, le Président de la République Jacques Chirac a remis l’insigne à des anciens combattants américains de la Première Guerre mondiale. L’admission et l’avancement dans l’ordre sont prononcés dans la limite de contingents fixés par décret du président de la République pour une période de trois ans. Ces contingents sont répartis entre le président et les différents ministres qui adressent leurs propositions au Grand chancelier. L’accès à l’ordre ne peut se faire dans un grade supérieur à celui de chevalier, sauf quand il s’agit d’honorer une personnalité étrangère. L’admission dans l’ordre (chevalier) comportait à sa création, une rente annuelle insaisissable de deux cent cinquante francs or. En 2004, cette rente annuelle (chevalier) est de 6,10 €.L’attribution est presque automatique pour les anciens ministres, les préfets honoraires, les anciens députés ou sénateurs (les ministres et parlementaires en activité sont exclus du champ sauf pour faits de guerre), les hauts magistrats et les membres du corps diplomatique. L’obtention d’une médaille d’or aux jeux Olympiques est une promotion spéciale. L’armée obtient cinquante pour cent des places et les autres professions bien représentées sont les policiers, les pompiers, les élus, les hauts fonctionnaires et les représentants des cultes.
La devise de l'Ordre est: Honneur et Patrie. C'est le Président de la république qui est le grand maître de l'Ordre.
 

 

Qui doit faire la demande ?
   Contrairement aux idées reçues, "on ne demande pas" la Légion d'honneur, ni pour soi-même, ni pour un autre : on "propose" un dossier, insiste le secrétaire général de l'Ordre de la Légion d'honneur. Des proches, collaborateurs ou collègues doivent signaler la situation exceptionnelle d'une personne auprès d'élus locaux, d'associations ou d'entreprises. Ce sont eux qui seront les plus à même de déposer un dossier de proposition au service des décorations de la préfecture (des formulaires peuvent généralement être téléchargés en ligne).       
la sélection se  fait en quatre étapes. 

                 1. Le premier "filtre" se situe à la préfecture : c'est le préfet qui sélectionne les dossiers recevables et les adresse aux ministères concernés par les activités du "candidat".
                 2. Le ministre réalise ensuite son choix en fonction de la qualité des dossiers. Il ne doit toutefois pas excéder le nombre annuel de nominations qui lui a été attribué.
                3. Il adresse alors ses propositions à la Grande Chancellerie, située au Palais de Salm à Paris. Les 16 membres du Conseil de l'Ordre et le Grand chancelier étudient les dossiers avant de transmettre leur sélection au Président de la République.
                   4. C'est le Président, qui est aussi le Grand maître de l'ordre, qui donne l'accord définitif par décret

    L'organisation de l'Ordre :                          
                   - Le Grand Chancelier.
    Le Grand Chancelier de la Légion d'Honneur relève directement du Grand Maître, le Président de la République. Il demeure en charge pour une période de six ans renouvelable. Choisi parmi les grand'croix, il est dépositaire du Sceau de l'Ordre. Il est de droit Chancelier de l'Ordre National du Mérite et gère la Médaille Militaire. Il est obligatoirement consulté sur les questions de principe concernant les décorations françaises (à l'exclusion de l'Ordre de la Libération et de la médaille de la Résistance qui ont leur propre Chancelier).
                   - Le Conseil de l'Ordre.
   Il est présidé par le Grand Chancelier. Il comprend seize membres dont quatorze dignitaires ou commandeurs, un officier et un chevalier, nommés par le Grand Maître, sur proposition du Grand Chancelier. Ses membres offrent un éventail de personnalités civiles et militaires, appartenant à toutes les activités représentatives de la société française.
     Les promotions civiles annuelles ont lieu : le 1er janvier, à Pâques et le 14 juillet. Les promotions militaires se limitent à deux fois par an, en principe au printemps pour les Réserves et début juillet pour l'Armée Active.   



ORDRE NATIONAL DU MERITE:
    Deuxième Ordre National après celui de la Légion d'Honneur, l'Ordre National du Mérite est aussi le plus jeune Ordre français et le second Ordre de chevalerie (avec l'Ordre de la Libération) a avoir été créé par le général de Gaulle, le 3 décembre 1963 par le décret n° 63-1196. Il récompense les " mérites distingués " civils et militaires. Ce faisant, il réserve à l'Ordre de la Légion d'Honneur la récompense des " mérites éminents ". la création d'un second Ordre national permet d'appliquer les décisions du nouveau Code de la Légion d'Honneur qui vise à revaloriser le premier Ordre français.  Le nouvelle Ordre s'ouvre aussi à des classes d'âges plus jeunes que celles de la Légion d'Honneur dans la mesure où les durées de services exigées sont diminuées environ de moitié. Les femmes ne furent admises que tardivement, au XIXème siècle, dans l'Ordre de la Légion d'Honneur. Elles le furent, en revanche, immédiatement de nos jours dans celui du Mérite.
Les bénéficiaires et les conditions d'admission :

  

      Trois personnalités sont admises de droit et de par leur fonction dans l'Ordre National du Mérite : le Président de la République, Grand Maître (de droit) de l'Ordre, le Grand Chancelier de la Légion d'Honneur, qui est Chancelier de l'Ordre National du Mérite et, depuis 1974, le Premier ministre après 6 mois de fonction (nommé grand'croix). L'Ordre National du Mérite récompense les mérites distingués acquis soit dans une fonction publique, civile ou militaire, soit dans l'exercice d'une activité privée. Il comprend 3 grades (chevalier, officier, commandeur) et 2 dignités (grand officier, grand'croix). Les membres des Assemblées parlementaires ne peuvent être nommés ou promus dans l'Ordre. L'admission et l'avancement dans l'Ordre National du Mérite sont prononcés dans la limite des contingents fixés par décret du Président de la République pour une période de trois ans. Ces contingents sont répartis entre les différents ministres qui adressent les propositions au Grand Chancelier. Le Président de la République est de droit Grand Maître de l'Ordre et grand'croix
Le Conseil de l'Ordre:
    Il est présidé par le Grand Maître lorsqu'il le juge utile ou par le Chancelier. Il comprend dix membres. Ils sont nommés par décret du Président de la République. Moins nombreux que celui de la Légion d'Honneur (composé de seize membres), ses membres offrent un éventail de personnalités civiles et militaires.


ORDRE DES PALMES ACADEMIQUES:
    Les Palmes Académiques sont la plus ancienne des distinctions décernées à titre civil. Instituée le 4 octobre 1955 par le Président de la République René Coty, faisant suite à une distinction créée par Napoléon Bonaparte pour honorer les membres éminents de l'Université. Les modalités de leur attribution avaient déjà été étendues en 1866 à des personnes non enseignantes ayant rendu des services éminents à l'éducation. Elles peuvent être accordées aux étrangers et aux français résidant à l'étranger qui contribuent activement à l'expansion de la culture française dans le monde. Cet ordre est destiné à honorer les mérites des personnels relevant du ministère de l'Education Nationale. Pour être nommé Chevalier, il faut jouir de ses droits civils et être âgé de trente-cinq ans au moins tout en justifiant de 15 ans de service au titre d'une des activités relevant du ministère de l'Education Nationale, de l'Université, ou de la Jeunesse, des Sports et des Loisirs. L'Ordre des Palmes académiques comprend trois grades : Chevalier, Officier, Commandeur. Nul ne peut être promu Officier, s'il n'est depuis cinq ans au moins Chevalier, nul ne peut être promu Commandeur, s'il n'est depuis cinq ans au moins Officier. Les Promotions et nominations ont lieux deux fois par an :
        -les 1er janvier (pour les personnes n'appartenant pas à un établissement d'enseignement de l'Etat ou à un service du M.E.N.)
        -les 14 juillet (pour les personnes appartenant à un établissement d'enseignement de l'Etat ou à un service du M.E.N.).
Les décisions de promotion et de nomination dans l'Ordre sont prises par arrêté du Ministre de l'Education Nationale.
    -Chevalier: pour un âge de 35 ans minimum, la jouissance des droits civiques et 15 ans de services
    -Officier: pour minimum de 5 années d’ancienneté dans le grade de Chevalier
    -Commandeur : pour minimum de 5 années d’ancienneté dans le grade d’Officier.  Pour les candidats
 présentant des mérites exceptionnels, des dérogations d’ancienneté sont possibles.
    -promotion directe au grade d’Officier des candidats dont l’âge est d’au moins 40 ans .
    -promotion directe au grade de Commandeur des candidats dont l’âge est d’au moins 45 ans.
    Un Conseil de l’Ordre, siégeant auprès du ministère de l’Éducation nationale, donne son avis sur les nominations et les promotions, veille à l’observation des statuts et des règlements de l’Ordre. Il est constitué de membres Commandeurs de droit        

      - le ministre de l’Éducation nationale est le président
      - un membre du Conseil de l’Ordre de la Légion d’honneur nommé par le ministre de l’Éducation nationale sur la proposition du Grand chancelier de la Légion d’honneur 
     - les directeurs de l'administration centrale du ministère de l’Éducation nationale
       - le doyen de l'inspection générale de l’Éducation nationale
    Il est à noter que tous les recteurs d'académie sont Commandeurs de droit.
Les étrangers peuvent recevoir une distinction dans l'Ordre des Palmes académiques. Les étrangers appartenant au personnel relevant du ministère de l'Éducation nationale sont soumis aux conditions déterminées par le présent décret. Les décorations attribuées à ce titre sont  imputées sur le contingent fixé annuellement.

Les étrangers n'appartenant pas au personnel relevant du ministère de l'Éducation nationale peuvent, sur avis favorable du Conseil de l'Ordre, être admis directement et sans conditions d'ancienneté à tous les grades en considération de leur personnalité et des services rendus. Les décorations attribuées à ce titre ne sont pas imputées sur le contingent fixé annuellement
     


ORDRE DES ARTS ET LETTRES:
  
    L'ordre des Arts et des Lettres a été institué le 2 mai 1957 (décret n° 57-549 du 2 mai 1957 portant institution de l'ordre des Arts et des Lettres). L'ordre des Arts et des Lettres est une décoration honorifique française qui, gérée par le ministère de la Culture récompense « les personnes qui se sont distinguées par leur création dans le domaine artistique ou littéraire ou par la contribution qu'elles ont apporté au rayonnement des arts et des lettres en France et dans le monde. ». « Respecté et envié des artistes, des écrivains, des créateurs » selon la formule d’André Malraux, mais parfois aussi méprisé ou farouchement refusé (Léo Ferré, parmi les cas les plus célèbres), cet ordre fut l’un des rares ordres ministériels à ne pas avoir été aboli lors de la réorganisation des décorations françaises décidée par le général de Gaulle en 1963, réorganisation qui supprima treize ordres ministériels pour instituer à leur place l'ordre national du Mérite. L'ordre des Arts et des Lettres comprend trois grades conférés par arrêté du ministre de la Culture après avis du préfet et du conseil de l'ordredes Arts et Lettres.
                                 - le grade de Chevalier
                                 - le grade d'Officier
                                 - le grade de Commandeur
    Le premier grade ne peut être décerné qu'à des artistes âgés de trente ans au moins et jouissant de leurs droits civils. Les deux grades supérieurs, quant à eux, ne peuvent être attribués qu'à deux conditions : justifier d'un minimum de cinq ans d'ancienneté dans le grade inférieur – sauf à être déjà commandeur ou officier de la Légion d'honneur – et faire preuve de mérites nouveaux. Les Officiers et les Commandeurs de la Légion d’honneur peuvent être directement promus à un grade équivalent dans l’Ordre des Arts et des Lettres. Le grade de Commandeur est conféré de plein droit au ministre de la Culture. les promotions ayant lieu le 1er janvier et le 14 juillet de chaque année. Le conseil de l'ordre des Arts et des Lettres comprend douze membres de droit – notamment les directeurs de l'administration générale du ministère de la Culture, des Archives nationales, de la lecture et des musées de la France – et treize membres nommés par le ministre.


MERITE AGRICOLE:

L’ Ordre du Mérite Agricole fut institué par le décret du 7 juillet 1883, suite à une proposition du ministre de l’Agriculture Jules Meline, soucieux de récompenser plus largement le monde agricole qu’il n’était possible jusqu’alors par un contingent annuel limité de Légion d’honneur. Pour le ministre de l’Agriculture, dont le ministère avait été créé en 1881, cette nouvelle décoration se devait d’avoir une valeur égale à celle de la Légion d’honneur remise à titre agricole et, c’est pourquoi, l’insigne originellement retenu, mais jamais réalisé, avait des caractéristiques proche de celui de la Légion d’honneur. Si le décret de 1883 ne créa que le grade de Chevalier, ce fut par le décret du 18 juin 1887 que fut institué le grade d’Officier et, enfin, celui de Commandeur par le décret du 3 août 1900. En 1896, Jules Meline, décida de réformer l’Ordre et décréta qu’il faudrait désormais « avoir exercé pendant 15 ans au moins, avec distinction, des fonctions se rattachant à l’Agriculture, ou compter au moins 15 ans de pratique agricole pour être admis dans l’Ordre. » un Conseil supérieur de l’Ordre composé des personnalités suivantes :
     - le ministre de l’Agriculture 
     - les anciens ministres de l’Agriculture 
     - les rapporteurs du budget de l’agriculture au Sénat et à la Chambre des députés 
    - cinq personnalités choisies parmi les notabilités du monde agricole.
Surnommé familièrement « le poireau », en raison de la couleur de son ruban et de son insigne semblables au légume dont la racine est blanche et le panache vert ; l’Ordre du Mérite Agricole fut réorganisé par le décret n° 59-729 du 15 juin 1959. Depuis cette date, le Conseil supérieur de l’Ordre est composé des personnalités suivantes :
    - le ministre de l’Agriculture ( président ) 
    - un membre du conseil de l’Ordre de la Légion d’honneur ( vice-président ) 
    - le directeur du cabinet du ministre de l’Agriculture 
    - cinq directeurs généraux ou directeurs du ministère de l’Agriculture nommés par arrêté du ministre 
    - huit personnalités choisies parmi les notabilités du monde agricole ayant le grade de Commandeur, nommées par arrêté du ministre pour une durée de trois ans renouvelable.
Il y a trois grade dans l’Ordre :
          - Chevalier 
          - Officier
          - Commandeur
Officiers et les Commandeurs de la Légion d’honneur et de l'Ordre national du Mérite peuvent être directement promus aux grades correspondants dans l’Ordre du Mérite Agricole sans avoir à justifier d’ancienneté dans les grades inférieurs. Les Français résidant à l’étranger et les étrangers qui résident ou non en France peuvent être admis dans l’Ordre du Mérite Agricole après avis du ministère des Affaires Étrangères, aux mêmes grades et pour les mêmes services que les citoyens français résidant en France. Les nominations et les promotions ont lieu chaque année à l’occasion du 1er janvier et du 14 juillet.

 

MEDAILLES  MILITAIRE:

    La Médaille militaire est une décoration française instituée le 22 janvier 1852 par Louis Napoléon Bonaparte pour récompenser les militaires ou assimilés, non-officiers.

       La Croix de guerre 1914-1918 est une décoration militaire attribuée pour récompenser l'octroi d'une citation par le commandement militaire pour conduite exceptionnelle au cours de la Première Guerre mondiale.          

        La Croix de guerre 1939-1945 est une décoration militaire française destinée à distinguer des personnes (civiles et militaires), des unités, des villes ou des institutions ayant fait l'objet d'une citation pour fait de guerre au cours de la Seconde Guerre mondiale.
      La Croix de la valeur militaire est une décoration française. Elle récompense les hommes (et femmes) titulaires d'une citation pour fait d'armes gagnée sur des théâtres d'opérations qui ne font pas l'objet de l'attribution de la Croix de guerre.
     La médaille de la Résistance française a été instituée, à Londres, par ordonnance du 9 février 1943 du général de Gaulle, « chef de la France combattante ». Son objet était de « reconnaître les actes remarquables de foi et de courage qui, en France, dans l'Empire et à l'étranger, auront contribué à la Résistance du peuple français contre l'ennemi et contre ses complices depuis le 18 juin 1940. » C'est la seconde, et seule, décoration créée, après l'Ordre de la Libération, pendant la Seconde Guerre mondiale, par le général de Gaulle.
      La Croix du combattant volontaire est une décoration militaire française qui récompense les soldats qui ont choisi spontanément de servir dans une unité combattante.
     L'Ordre de la Libération est une décoration française qui récompense les héros de la Libération de la France lors de la Seconde Guerre mondiale. Cet ordre, le plus prestigieux avant même celui de la Légion d'honneur, ne fut attribué qu'à un certain nombre de personnes, d'unités militaires et de communes pour de hauts-faits lors de la Libération de la France.

 





                                              
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